Relations presse – CorioLink dans Widoobiz
Widoobiz est un média en ligne spécialisé sur la thématique Entrepreneurs et Startups. Thomas Benzazon, le journaliste en charge des programmes de la rédaction, couvre de nombreux événements entrepreneurs dans toute la France. C’est lors de l’Université d’été du Medef que Widoobiz a eu l’occasion d’interroger l’agence de relations presse CorioLink, dont il est l’un des partenaires.
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Dans son interview, Jacky Isabello, co-fondateur de CorioLink, s’est exprimé à propos de deux des études réalisées par son agence. La première étude, l’observatoire de l’esprit entrepreneurial, réalisée dans le cadre de la campagne présidentielle 2017, interroge les français sur les personnes publiques qu’ils souhaiteraient le plus entendre durant les présidentielles. Il en ressort que les entrepreneurs seraient les plus plébiscités par 45 % des électeurs, avant les intellectuels qui n’apparaissent qu’en deuxième position avec 18 % des sondages.
Une large majorité a répondu affirmativement, à la question de savoir s’il faudrait systématiquement nommer des entrepreneurs au sein des gouvernements. Et c’est Emmanuel Macron qui arrive en tête, en tant qu’entrepreneur potentiel, quelle que soit la sensibilité politique.
Pour ce qui est des candidats à la primaire. Arrive en tête Alain Juppé, suivi de Bruno Lemaire, et puis Nicolas Sarkozy.
Beaucoup de politiques ont déjà compris l’importance de l’expérience entrepreneuriale.
Quelqu’un comme Arnaud Montebourg, a souhaité teinter à un moment donné son parcours politique par une expérience entrepreneuriale. On nous a dit récemment que l’avant dernière ministre des PME, Fleur Pellerin allait se lancer dans un parcours entrepreneurial.
Ce qu’il faut, entre autre retenir de ce sondage :
Les français ont envie de gens qui ont démontré des succès économiques, et ils veulent les voir dans des postes politiques.
La deuxième étude CorioLink citée, concerne l’action des grands groupes dans la création de nouvelles entreprises. Jacky Isabello en retient une chose.
Les leaders, de branche ou de secteur, doivent pouvoir accompagner les entreprises de taille plus modeste pour conquérir des marchés à l’international, ou innover de manière différente. On aimerait proposer aux politiques d’institutionnaliser cet accompagnement, qui est une espèce d’obligation, à ce que les grands groupes certes vendent, satisfassent leurs salariés mais aussi permettent le développement de leur entreprise ».
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