L’agence de communication institutionnelle CorioLink sur LCI
Jacky Isabello, le cofondateur de l’agence de communication institutionnelle, CorioLink, spécialisée dans les relations presse, relations publiques et communication politique, était invité sur le plateau de LCI.
Ce jeudi 17 novembre, Jacky Isabello était l’invité de l’émission Com’Toujour, présentée par Julien Arnaud, aux côtés de Romain Mouton et Guillaume Jubin. Ces derniers dont eu pour mission d’analyser l’actualité politique de la semaine au travers de la communication.
Furent au programme : l’annonce de la candidature d’Emmanuel Macron, ainsi que le de la primaire de la droite.
La candidature d’Emmanuel Macron
Au lendemain de l’annonce de la candidature de d’Emmanuel Macron les invités reviennent sur son discours. Jacky Isabello juge ce discours trop solennel :
« (Emmanuel Macron) avait quelques qualités, il utilisait les techniques de ces conférences qu’on appelle TED. Il est tout seul, il déambule un peu comme nous l’a révélé Steve Jobs. Là il était derrière son pupitre, il n’avait pas de prompteur à l’américaine, Il n’a pas marqué une différence, il s’est institutionnalisé (…) on l’a vu enlever tout ce qui faisait l’originalité de son discours. (…) il a livré une prestation qui était artificielle, il aurait dû livrer une prestation authentique. Son discours, ses images, le cheminement vers le discours, le contexte, tout ç a a été gommé. Il veut devenir président de la république, ok on en a plein comme ça, maintenant c’est quoi ta différence Emmanuel ? »
Les candidats de la primaire de la droite et du centre
A quelques heures du début du débat des primaires, Julien Arnaud demande à Jacky Isabello quels sont les conseils qu’il adresserait aux candidats :
« Je leur dirais, ce débat est essentiel pour connaitre le vainqueur (…) parce que l’électorat n’a pas l’impression en changeant de candidat de trahir son camp. (…) On l’a vu avec François Fillon qui a démarré quasiment sous la table et puis qui est sorti, qui s’est épanoui et qui aujourd’hui peut prétendre à la victoire finale.
Il faut qu’ils lâchent leurs coups mais en même temps il faut qu’ils restent présidentiels. Il ne faut pas qu’ils soient trop méchants car ils devront gouverner ensemble.»
En effet à l’issue de ce débat « On peut voir quelqu’un s’effondrer, on peut voir Nicolas Sarkozy sortir du jeu », conclut Jacky Isabello.
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